…la date de fête de mon père !
Alors à chaque année on se moque de lui, il reçoit des cartes de fête un peu macho, des courriels lui disant à quel point ça ne doit pas être facile de se faire « voler » sa journée… c’est bien cocasse et sans méchanceté aucune.
Trêve de plaisanteries. Le 8 mars, c’est une journée qui me rend bien pensive, durant laquelle je fais un petit bilan d’où j’en suis rendue. Je ressors des romans marquants dans mon « éducation féministe » et souvent j’essaie de les partager.
Le 8 mars nous procure plus « officiellement », on pourrait dire, une occasion de rendre hommage, à tous ceux et à toutes celles qui croient en l’amélioraton de la qualité de vie des femmes, de leurs droits et de leur estime d’elle-même dans toutes les sphères, soient-elles privées ou publiques. Le 8 mars, on peut simplement penser à toutes ces autres journées où on fait des efforts, où on se bat pour se faire entendre et respecter. Le 8 mars, je lève ma coupe de vin à vous toutes et je vous remercie (mais comme j’aime bien le vin, je vous lève mon verre plusieurs autres fois par année … 😉 )